Vers 1490, dans un petit village à proximité de Nuremberg, vivait une famille nombreuse.
Afin de ramener du pain à la maison pour tous, le père travaillait presque 18 heures par jour, dans les mines de charbon et acceptait tout travail qui se présentait.
Deux de ses fils avaient un rêve : se consacrer à la peinture.
Mais ils savaient que leur père ne pourrait jamais envoyer l’un d’eux étudié à l’université.
Après de nombreuses nuits de conversations étouffées, les deux frères arrivent à un accord.
Ils tireraient à pile ou face, et le perdant travaillerait dans les mines afin de payer les études du gagnant….
À la fin de ses études, le gagnant paierait alors les études de celui qui resterait à la maison grâce à la vente de ses œuvres.
Les deux frères pourraient ainsi devenir tous les deux artistes.
Ils tirèrent à pile ou face, un dimanche, en sortant de l’église.
L’un d’eux, dénommé Albrecht Dürer, gagna et s’en alla étudier à Nuremberg.
L’autre frère commença alors à travailler dans ces mines dangereuses, où il resta durant les quatre années suivantes afin de payer les études de son frère, qui depuis SON départ avait fait sensation à l’Académie.
En effet, les gravures d’Albrecht, ses sculptures et ses toiles devinrent meilleures que celles de la plupart de ses professeurs,
et au moment de recevoir son diplôme, il avait déjà commencé à gagner des sommes considérables, avec les ventes des fruits de son art.
Quand le jeune artiste revient dans son village, la famille Dürer se réunit lors d’une fête en son honneur.
À la fin de cette soirée mémorable, Albrecht se leva de sa place d’honneur à table, et proposa de porter un toast en hommage à son frère chéri, qui s’était tant sacrifié en travaillant dans les mines afin de rendre possible ses études.
Il déclara : « Maintenant, mon frère, c’est ton tour. Tu peux désormais te rendre à Nuremberg afin de concrétiser tes rêves ; moi, je me chargerai de toutes tes dépenses. »
Tous les regards pleins d’expectatives se tournèrent vers le coin de la table qu’occupait son frère.
Or, ce dernier, le visage embué de larmes, se leva et dit doucement :
« - Non, mon frère, je ne peux pas aller à Nuremberg. C’est trop tard pour moi.
Ces quatre années de travail dans les mines ont détruit mes mains.
Chaque os de mes doigts s’est cassé au moins une fois et le rhumatisme de ma main droite a tellement avancé que j’ai même eu du mal à lever mon verre pour trinquer à ta santé.
Je ne pourrai pas tracer de délicates lignes avec le compas sur le parchemin, ni manipuler la plume ou le pinceau..
Non, mon frère, pour moi, il est déjà trop tard. Cependant, je suis heureux que mes mains difformes aient servi à ce que les tiennes puissent réaliser leur rêve. »
Plus de 480 ans se sont écoulés depuis ce jour. Aujourd’hui les gravures, les toiles, les aquarelles, les sculptures et les autres œuvres Albrecht Dürer peuvent être admirées dans les musées du monde entier.
Toutefois, vous devez sûrement n’en connaître qu’une, comme la plupart de gens.
Vous en avez même peut-être une à votre bureau ou chez vous.
C’est cette gravure d'Albrecht Dürer, dessina un jour afin de rendre hommage au sacrifice de son frère :
Les mains abîmées de son frère, avec les paumes jointes et les doigts tournés vers le ciel.
Il a simplement nommé cette œuvre puissante « Mains qui prient »,
Ces mains rugueuses et usées, jointes en prière, sans doute devant de grandes épreuves, témoignent de la confiance inébranlable fondée sur la foi en Jésus-Christ.
Il était un homme de foi très attentif au retour à la vraie foi et à la Parole de Dieu qui allaient se manifester par la période dite de la "Renaissance " ramenant la révélation de la nouvelle naissance et de la réforme protestante.
CHANT : Il a donné ses deux mains
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Alors qu'Il était dans le jardin,
Ils sont venus pour L'arrêter.
On voulait les en empêcher,
Mais Il leur dit : « Ne faites rien ! »
Comme Judas venait de L'embrasser,
Tous les soldats L'ont entouré.
Ils L'ont saisi et emmené.
Ils prétendaient vouloir Le juger.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Un feu brûlait, tard dans la soirée,
Les mains de Pierre s'y réchauffaient.
Celles de Jésus étaient percées.
Comme un brigand, ils L'ont cloué.
Les mains des soldats L'avaient cogné.
Celles de Pilate étaient lavées.
Tu vas peut-être les juger,
Mais toi, tes mains, qu'en aurais-tu fait ?
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Cette vidéo a été enregistrée en public par nos frères de l'ACMIR de l'Île de la Réunion. www.acmir.re Que le Seigneur vous bénisse ! https://www.youtube.com/results?search_query=Cris+de+Joie
Afin de ramener du pain à la maison pour tous, le père travaillait presque 18 heures par jour, dans les mines de charbon et acceptait tout travail qui se présentait.
Deux de ses fils avaient un rêve : se consacrer à la peinture.
Mais ils savaient que leur père ne pourrait jamais envoyer l’un d’eux étudié à l’université.
Après de nombreuses nuits de conversations étouffées, les deux frères arrivent à un accord.
Ils tireraient à pile ou face, et le perdant travaillerait dans les mines afin de payer les études du gagnant….
À la fin de ses études, le gagnant paierait alors les études de celui qui resterait à la maison grâce à la vente de ses œuvres.
Les deux frères pourraient ainsi devenir tous les deux artistes.
Ils tirèrent à pile ou face, un dimanche, en sortant de l’église.
L’un d’eux, dénommé Albrecht Dürer, gagna et s’en alla étudier à Nuremberg.
L’autre frère commença alors à travailler dans ces mines dangereuses, où il resta durant les quatre années suivantes afin de payer les études de son frère, qui depuis SON départ avait fait sensation à l’Académie.
En effet, les gravures d’Albrecht, ses sculptures et ses toiles devinrent meilleures que celles de la plupart de ses professeurs,
et au moment de recevoir son diplôme, il avait déjà commencé à gagner des sommes considérables, avec les ventes des fruits de son art.
Quand le jeune artiste revient dans son village, la famille Dürer se réunit lors d’une fête en son honneur.
À la fin de cette soirée mémorable, Albrecht se leva de sa place d’honneur à table, et proposa de porter un toast en hommage à son frère chéri, qui s’était tant sacrifié en travaillant dans les mines afin de rendre possible ses études.
Il déclara : « Maintenant, mon frère, c’est ton tour. Tu peux désormais te rendre à Nuremberg afin de concrétiser tes rêves ; moi, je me chargerai de toutes tes dépenses. »
Tous les regards pleins d’expectatives se tournèrent vers le coin de la table qu’occupait son frère.
Or, ce dernier, le visage embué de larmes, se leva et dit doucement :
« - Non, mon frère, je ne peux pas aller à Nuremberg. C’est trop tard pour moi.
Ces quatre années de travail dans les mines ont détruit mes mains.
Chaque os de mes doigts s’est cassé au moins une fois et le rhumatisme de ma main droite a tellement avancé que j’ai même eu du mal à lever mon verre pour trinquer à ta santé.
Je ne pourrai pas tracer de délicates lignes avec le compas sur le parchemin, ni manipuler la plume ou le pinceau..
Non, mon frère, pour moi, il est déjà trop tard. Cependant, je suis heureux que mes mains difformes aient servi à ce que les tiennes puissent réaliser leur rêve. »
Plus de 480 ans se sont écoulés depuis ce jour. Aujourd’hui les gravures, les toiles, les aquarelles, les sculptures et les autres œuvres Albrecht Dürer peuvent être admirées dans les musées du monde entier.
Toutefois, vous devez sûrement n’en connaître qu’une, comme la plupart de gens.
Vous en avez même peut-être une à votre bureau ou chez vous.
C’est cette gravure d'Albrecht Dürer, dessina un jour afin de rendre hommage au sacrifice de son frère :
Les mains abîmées de son frère, avec les paumes jointes et les doigts tournés vers le ciel.
Il a simplement nommé cette œuvre puissante « Mains qui prient »,
Ces mains rugueuses et usées, jointes en prière, sans doute devant de grandes épreuves, témoignent de la confiance inébranlable fondée sur la foi en Jésus-Christ.
Il était un homme de foi très attentif au retour à la vraie foi et à la Parole de Dieu qui allaient se manifester par la période dite de la "Renaissance " ramenant la révélation de la nouvelle naissance et de la réforme protestante.
CHANT : Il a donné ses deux mains
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Alors qu'Il était dans le jardin,
Ils sont venus pour L'arrêter.
On voulait les en empêcher,
Mais Il leur dit : « Ne faites rien ! »
Comme Judas venait de L'embrasser,
Tous les soldats L'ont entouré.
Ils L'ont saisi et emmené.
Ils prétendaient vouloir Le juger.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Un feu brûlait, tard dans la soirée,
Les mains de Pierre s'y réchauffaient.
Celles de Jésus étaient percées.
Comme un brigand, ils L'ont cloué.
Les mains des soldats L'avaient cogné.
Celles de Pilate étaient lavées.
Tu vas peut-être les juger,
Mais toi, tes mains, qu'en aurais-tu fait ?
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Il a donné Ses deux mains pour toi,
Attaché, là-bas, sur une croix.
Cette vidéo a été enregistrée en public par nos frères de l'ACMIR de l'Île de la Réunion. www.acmir.re Que le Seigneur vous bénisse ! https://www.youtube.com/results?search_query=Cris+de+Joie
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